Bébé Nyny ou les plaisirs des tous petits

Catégories : Diaper girl / Little girl
il y a 5 ans
Une histoire ABDL avec la régression d'une fille

Dans la salle de cours, les élèves étaient penchés sur leurs copies, le stylo en main. À son bureau, le professeur surveillait attentivement les éventuelles tricheries.

Au dernier rang, mâchonnant le bout de son stylo, une jeune fille considérait deux copies doubles, maculées du fruit de sa dissertation. Elle fronça les sourcils et rajouta quelques mots. Ses cheveux blonds ondulés tombant naturellement sur ses épaules, ses grands yeux bleus clairs, sa petite taille menue, lui faisait paraître facilement 3 ou 4 ans de moins que son âge. Elle venait d'avoir ses dix-huit ans, et était en terminale.

Soudain elle se crispa en sentant son ventre gargouiller. Elle regarda autour d'elle pour vérifier que personne n'avait entendu ce bruit presqu'inconvenant et replongea le nez dans ses copies. Cependant, la surprise puis l'inquiétude la gagnèrent lorsqu'elle sentit sa petite culotte s'humidifier faiblement. Elle se contracta et tenta tant bien que mal de contenir le fluide qui risquait d'inonder ses cuisses, ses dessous ainsi que son jean, et faire apparaître une marque bien visible aux yeux de ses camarades et des gens qu'elle pourrait croiser et qui se moquerait d'elle.

Lorsqu'enfin, le professeur annonça solennellement qu'il ne restait plus que deux minutes, elle se concentra davantage, et finit rapidement de relire son travail.

C'est la sonnerie stridente annonçant la fin du cours qui vint la délivrer. Le professeur se leva en imposant le silence, et le dépôt des stylos sur les tables. Il passa dans les rangs et ramassa les copies. Lorsqu'il fut revenu à son bureau, les élèves se levèrent à leur tour en rangeant leurs affaires et sortirent en parlant.

La Jeune fille imita ses camarades et sortit rapidement tout en prenant garde de toujours contrôler son entrecuisse dans le même état. Une fois arrivée dans le couloir, elle s'approcha d'une jeune fille brune au corps élancé et sportif.

" - Ophélie, je peux te parler?

  • Ouais?
  • Euh, est-ce que t'aurais une... enfin... Je crois que... j'ai mes... enfin... que...
  • Ah ouais je vois rit Ophélie. Tiens dit-elle en fouillant dans son sac, en y prenant quelque chose qu'elle glissa dans la main de son amie.
  • Merci beaucoup. Tu me dépannes bien...
  • pas de souci fanny... la prochaine fois prévois d'en avoir j'en ai pas tous les jours..."

Fanny sourit en rougissant et s'éloigna rapidement pour rejoindre les toilettes des filles. Elle s’enferma dans l'une des cabines, posa son sac par terre, déboutonna son jean, le fit descendre le long de ses frêles jambes, avant d'en faire de même avec sa culotte. Lorsqu'elle baissa les yeux pour constaté les dégâts dans cette dernière, elle sursauta en constatant avec surprise que contrairement à ce qu'elle croyait, ça n'était pas quelques gouttes de sang qui avait perlé de son intimité et salit le coton blanc protégeant son entre cuisse, mais quelques gouttes jaunâtres caractéristiques provenant de sa vessie.

Elle tenta de faire disparaître les légères traces qui en restaient et déballa le petit rectangle donné par Ophélie. Le plaça antre ses cuisses à plat sur la culotte, et retira une à une les protections des adhésifs qu'elle colla. Une fois le tout en place, elle se rhabilla et sortit son sac sur l'épaule.

Au contact de son entrecuisse et du voile léger de sa nouvelle protection, elle ressentit une sensation de bien être, une impression douce et délicate de sécurité. Lorsqu'elle sortit du lycée à la fin de la journée, elle avait complètement oublié sa petite mésaventure ainsi que ce qui se trouvait dans sa culotte.

Cependant, alors qu'elle se trouvait dans le bus qui la ramener chez elle, elle eu une envie pressante qui lui remémora cet épisode embarrassant. Quand le bus s'arrêta, et la laissa sortir, elle se précipita sur le trottoir et se mit à courir sans prêter attention aux grommellements des passants qu'elle frôlait dans sa course.

Lorsqu'elle s’arrêta devant la porte de chez elle, son envie lui faisait mal au ventre tellement elle en était menaçante. Elle ouvrit le battant rapidement et s'engouffra à l'intérieur de la maison puis claqua la porte derrière elle sans s'arrêter. Son sac de cours traversa le salon par la voie des airs pour finalement atterrir dans un coin, alors que Fanny se jeta dans les VC. Au moment où elle défaisait le bouton de son jean, ce qu'elle redoutait arriva. Elle sentit le liquide chaud coulait dans sa culotte d'abord absorbée par la serviette mais bientôt se répandit le long de ses cuisses.

Elle considéra l'état de son sous vêtement de la serviette et de son entrejambe après s'être déshabillée. Elle arracha la protection insignifiante, la jeta à la poubelle puis lança le bout de tissu complètement imbibé dans la machine à laver. Elle se nettoya et remit une culotte propre.

Cet incident l'avait perturbé au plus profond d'elle. L'image de sa culotte mouillée passait et repassait devant ses yeux sans cesse, lui donnant la sensation d'être retombée à l'âge d'un ou deux ans alors qu'elle ne pouvait se retenir de salir ses couches. Durant toute la soirée, elle prit bien soin de vérifier régulièrement qu'elle n'était pas victime d'un nouvel accident.

Lorsqu'elle dû se mettre au lit, elle eût énormément de mal à trouver le sommeil, son esprit étant trop préoccupé par une éventuelle humiliation supplémentaire à son réveil. Elle ne parvint à s'endormir que vers deux heures du matin, et se réveilla toutes les heures pour se rendormir aussitôt. Elle eût beaucoup de mal à s'extraire de ses draps lorsque son téléphone portable sonna à 7 heures.

Malgré la fatigue qui l'habitait, elle fut soulagée de constater que ses draps étaient restés secs. À l'entrée du lycée, elle rejoignit quelques unes de ses amies. Ophélie était là, souriante, dynamique, comme à son habitude. Lorsque son regard croisa celui de Fanny cette dernière eu l'impression étrange d'être transpercée de part en part, mais le rictus plein de malice et de complicité qu'elle aperçut chassa bien vite cette impression désagréable.

" Alors, tu n'as plus eu d'accident? Souffla Ophélie à son oreille alors que le flot d'élèves se dirigeait en discutant vers l'une des salles de cours."

Fanny sentit le rouge lui monter aux joues en entendant ces quelques mots, et fit non de la tête tout en haussant les épaules. Ophélie la regarda en souriant et lui adressa un clin d'œil. La matinée se passa tranquillement et l'heure du midi arriva bien vite. Fanny se retrouva attablée face à Ophélie, dans le réfectoire du lycée.

Elles plaisantèrent ensemble sur leurs camarades et leurs professeurs, tout en déjeunant. A la fin du repas, elles avaient vidé deux bouteilles d'eau dont une grande partie avait été absorbée par Fanny.

Lorsque vers 14 heures 45, Ophélie jeta un coup d'œil à son amie, celle-ci était penchée sur son bureau, l'air concentrée. Ce qui attira l'attention d'Ophélie fut l'air crispé du visage de Fanny, et les petits soubresauts de ses jambes. Elle eût juste le temps de voir son amie se lever, rassembler ses affaires et se précipiter hors de la classe dès que la sonnerie se fit entendre.

Une fois rentrée chez elle, Fanny se débarrassa de son sac, et se changea dès qu'elle fut dans sa chambre. Avant de se mettre à ses devoirs quotidiens, elle décida de s'accorder un moment de détente pour goûter et aller sur internet.

Elle s'installa donc confortablement sur sa chaise de bureau, ouvrit sa canette de soda, et se connecta à sa boîte mail. Elle ne trouva rien de particulier, et supprima tous les courriers qu'elle venait de recevoir.

Elle consulta l'un de ses jeux en ligne, puis se connecta à sa messagerie instantanée. Elle revint sur la fenêtre de ses courriels avant de se mettre à ses révisions. Un mail dont l'objet était "à l'attention de Fanny" et dont l'expéditeur était "maman Nyny", attira son regard. Lorsqu’elle l'ouvrit, elle ne lu qu'une simple phrase inscrite en majuscule.

" Tu n'es qu'une dégoûtante gamine"

Elle fut tout d'abord surprise, mais en voyant qu'il n'y avait aucune signature, et que l'adresse de l'expéditeur ne lui disait rien, elle supprima le courriel indésirable.

Une dizaine de minutes plus tard, Fanny avait le nez dans l'un de ses bouquins de cours quand son ordinateur émit un bip pour lui indiquer qu'un nouveau courriel venait d'arriver. Machinalement elle leva la tête et jeta un coup d'œil sur son écran. Elle étouffa un cri de surprise en constatant que ce nouveau mail provenait encore une fois de "maman Nyny".

Cette fois l'objet était beaucoup plus direct. Elle lu à voix haute : "fanny la pisseuse". Elle ouvrit le mail et poursuivit sa lecture.

" Fanny, tu n'es qu'une gamine, une pisseuse qui aurait bien besoin d'être éduquée correctement... Tu ferais mieux de ne pas mettre de culotte pour aller en cours, puisque tu pisses dedans! Réponds à ce mail sinon tout le monde saura ce que tu fais vraiment."

Fanny resta interdite pendant une ou deux minutes devant ce message autant direct que fou. Lorsqu'elle parvint à reprendre le contrôle sur son esprit, elle secoua la tête et enfouit son visage dans ses mains. Elle tenta de retrouver son calme, puis après quelques instants, elle répondit au mail.

De fanny Nagolia, à maman nyny, objet : ré: fanny la pisseuse :

" Bonjour, je ne sais pas qui c'est mais c'est une mauvaise blague alors fichez moi la paix svp. Fanny"

Elle envoya sa réponse, et supprima le mail. Elle se replongea ensuite dans son bouquin mais eu du mal à se concentrer malgré tous les efforts qu'elle pu fournir pour y parvenir. Un nouveau bip se fit entendre 5 minutes plus tard et sans même avoir regardé son écran Fanny comprit qu'il s’agissait d'un nouveau mail indésirable, sans doute en réponse à ses quelques mots. L'écran lui confirma son pressentiment. Cette fois le mail comportait une pièce jointe. Fanny lu anxieusement.

De Maman nyny à fanny Nagolia, objet ré: fanny la pisseuse,

" Tu vas parler autrement sale gamine et baisser d'un ton! Il n'est pas tolérable qu'une pisseuse comme toi parle ainsi! Pour te prouver que ça n'est pas une plaisanterie regarde la pièce jointe! Je souhaite pour toi que ta réponse soit bien plus respectueuse sinon ce qui se trouve avec ce mail sera afficher partout dans le lycée que tu fréquentes!"

Fanny frémit de honte et de colère en lisant ces derniers mots. Mais le pire était à venir. Son humiliation dépassa toutes ses limites de résistances lorsqu'elle ouvrit le fichier accompagnant le mail. Une image apparut sur l'écran provoquant l'écoulement de quelques larmes. Devant ses yeux, une photo d'elle prise la veille sans doute, à son insu. Elle apparaissait sans doute dans l'une des cabines des VC du lycée, le jean aux chevilles et la culotte aux genoux. L'image était prise de haut et offrait un angle idéal sur le sous vêtement. On pouvait donc aisément voir qu'il était trempé et imbibé par un liquide jaunâtre.

Fanny comprit que si cette photo était connue de ses camarades et de ses professeurs elle ne pourrait plus retourner en cours. Tout le monde se moquerait d'elle. Elle mit du temps à se reprendre. Finalement, admettant qu'elle n'avait guère d'autre choix elle répondit au mail.

De fanny Nagolia, à Maman nyny, objet ré: fanny la pisseuse, " Veuillez m'excuser. Mais que me voulez vous? Qui est vous? Je vous supplie de ne pas montrer cette photo!!! Je ferai tout ce que vous voulez!!! Fanny "

Elle attendit avec angoisse la réponse. Elle ferma son bouquin, et bu une rasade de soda. Le mail arriva quasiment aussitôt. La jeune fille retint son souffle alors qu'elle cliquait sur le mail et que celui-ci s'ouvrait.

De maman nyny à Fanny Nagolia objet ré: fanny la pisseuse,

" C'est mieux Fanny, il est préférable pour toi que tu sois toujours aussi respectueuse. Ce que j'attends de toi, est très simple. Obéissance et respect jusqu'à la fin de l'année scolaire. Si tu refuses, tu auras l'honneur d'être la star du lycée, on pourra te voir sur tous les murs avec ta culotte pleine de pisse. J'attends dans 15 minutes maximum ton engagement et ton consentement écrit à m'obéir en tout point. Après ce délai je considère que tu refuses."

Une nouvelle fois, Fanny resta interdite devant ce nouveau message directif et menaçant. Comprenant cependant qu'elle n'avait pas d'autre choix que de se plier à ce qu'on lui demanderait si elle voulait pouvoir éviter la honte et l'humiliation de voir son image exposé sur tous les murs de la ville. Elle se résigna donc à répondre au mail de façon servile pour ne pas aggraver sa situation.

De Fanny Nagolia, à Maman nyny, mardi 24 septembre 2013, 19:22, objet ré: fanny la pisseuse, " Je vous obéirai, je ferai tout ce que vous me demanderai, mais ne montrer pas la photo à qui que ce soit je vous en supplie! J’accepte ce que vous me demanderez!!!"

Elle n'eût qu'à attendre deux ou trois minutes avant qu'un nouveau mail n'arrive.

De Maman nyny, à Fanny Nangolia, mardi 24 septembre 2013, 19:25, objet ré: fanny la pisseuse

" Fanny, je suis ravie de ta décision, mais j'attends des preuves de ton sérieux et de ton obéissance. C'est pourquoi à chaque ordre que tu recevras tu devras m'apporter la preuve par une jolie photo. Bien sûr, ça s'applique dès maintenant. Voici donc ce que tu vas faire en premier lieu. Comme tu n'es pas capable de te retenir et que tu pisses partout, tu vas aller acheter des couches pour le bébé que tu es, ainsi qu'un biberon et une tutute. Lorsque tu auras ramené tout ça chez toi, tu auras deviné que tu te langeras, et prendra un bon biberon de lait après quoi tu garderas ta tututte. Je te donne deux heures pour m'apporter les preuves de tes actes.

Ta désormais, maman"

Fanny relut plusieurs fois les consignes qu'elle devait à présent suivre, sous peine de voir ce qu'elle redoutait se produire. Malgré la colère qui murmurait en elle, la honte qui l'envahissait progressivement, elle prit son courage à deux mains, enfila une tenue décontractée et partit pour la grande surface la plus proche.

Lorsqu'elle arriva dans le supermarché, elle se dirigea vers le rayon puériculture, et en fit le tour. Elle s'arrêta devant les biberons et les tututes, ne sachant que choisir. Elle se décida finalement pour une tututte rose bonbon en forme d'un joli papillon, et pour un biberon au capuchon rose aux motifs enfantins bleus. Elle enfouit les deux articles dans son sac à main, et fit quelques pas pour se trouver devant des palettes chargées de paquets de couches. Elle contempla l'étal pendant un petit moment se demandas bien quoi prendre. Une vendeuse qui passait s'approcha.

" - bonjour, puis-je vous aider mademoiselle?

  • euh, et bien oui, en fait je dois acheter... euh des couches mais je ne sais pas quoi choisir.
  • bien, que recherchez vous comme type de produit? Ce sont des couches pour un enfant de quel âge?
  • Euh, et bien, ça n'est pas un enfant... dit Fanny en rougissant. C'est pour... hésita-t-elle, c'est pour ma grand-mère, elle est incontinente... reprit-elle en rougissant encore plus.
  • Ah d'accord! Je vois... Ici c'est le rayon enfant vous ne trouverez pas votre bonheur ici. Veuillez me suivre, je vais vous montrer nos produits pour adultes."

Fanny suivit la vendeuse à travers le dédale des allées du magasin et parvint dans un rayon dans lequel elle s'arrêta devant des cartons assez volumineux.

"- Ici vous avez les changes pour les incontinences lourdes et ici pour les très légères. Je vous conseille néanmoins les changes pour incontinence lourde s’il s'agit d'une personne âgée. Les changes légers ne sont faits que pour les petites fuites si on peut dire. expliqua la vendeuse en désignant des paquets dans des cartons et en en mettant un dans les mains de Fanny."

La jeune femme repartit vers les caisses portant son paquet. Elle paya rapidement, sortit de la petite galerie commerciale avec son paquet, le visage cramoisi et rejoignit son domicile. Elle monta dans sa chambre discrètement, la peur au ventre que ses parents ne la surprenne. Lorsqu'elle referma enfin la porte derrière elle, et qu'elle tourna la clé pour en sécuriser la fermeture, elle posa le sac et son paquet sur son bureau et se laissa choir sur son lit. Elle resta prostrée pendant deux ou trois minutes sans bouger, puis apercevant l'heure qui avançait, elle prit son sac pour en sortir le biberon ainsi que la tétine.

Elle les manipula en les observant méticuleusement et aller les déballer lorsqu'un bruit de pas se fit entendre sur le palier, et deux petits coups furent frapper à sa porte. Fanny réagit immédiatement bien que l'angoisse d'être découverte lui pinça le ventre. Elle enfouit les deux objets au fond de son sac, et se jeta sur le paquet de couche qu'elle dissimula sous son lit. Enfin soulagée elle ouvrit la porte la respiration encore un peu courte.

" - Oui? dit-elle en découvrant sa mère sur le palier.

  • Ma chérie, tu as couru?
  • Euh non... hésita la jeune fille en tentant maladroitement le rouge de lui monté aux joues.

J'étais dans une dissertation et je voulais finir d'écrire ma phrase.

  • Ah, tu as bien fait. Nous sortons avec papa au restaurant. Nous rentreront vers 22 heures je pense. Tu as une assiette prête à réchauffée dans le frigo.
  • Ah ok, merci.
  • Fais attention à la maison.
  • Ne t'inquiète pas maman. Soupira Fanny.
  • Je ne m'en fais pas ma chérie. Je prends une clé. Peut être à ce soir.
  • Oui, bonne soirée maman.
  • Ah! Au fait, nous ne serons pas là ce week end, nous sommes invités chez Gérard et Nathalie Delbon, et comme il y a de la route nous dormirons en chemin.
  • Ah, très bien, j'avais prévu de rester à la maison.
  • Bon, on en reparlera de toute façon, bonne soirée ma chérie.
  • Oui, toi aussi maman."

Fanny referma la porte de sa chambre et vint se rasseoir sur son lit. Elle attendit que ses parents aient claqué la porte d'entrée, et que le moteur de la voiture familiale se fût éloigné pour bouger à nouveau. Elle reprit le biberon et la tétine qu'elle déballa, avant de sortir le paquet de couches de dessous son lit.

Elle rouvrit le dernier mail qu'elle avait reçu, et relu les consignes qui y étaient notées. Elle se dit que si elle prenait ses achats en photo, peut être que la personne qui lui avait donné de tels ordres se satisferait de ça. Elle sortit son téléphone portable prit des clichés de ses trois articles, puis après les avoir transféré sur son ordinateur elle répondit au mail.

De Fanny Nagolia, à maman nyny, objet photos:

" Rebonsoir, Je vous ai obéis voici la preuve de mes achats. Fanny"

Elle joignit les photos à son mail et l'envoya.

De Maman nyny, à fanny Nagolia, objet ré: photos: " Fanny, c'est un premier pas, mais ça ne me prouve pas que tu les as chez toi et que tu portes tes achats. De plus, je veux que tu m'appelles maman et que tu ne sois plus que bébé nyny pour moi. Pour que ça soit plus simple tu te créeras une adresse mail exprès pour que je puisse correspondre avec mon bébé et plus avec Fanny! Dépêche-toi, il ne reste moins d'une heure."

La jeune fille considéra l'écran où était toujours affiché le mail, le paquet de couches trônant sur le lit, la tétine puis le biberon. Après avoir hésité pendant un instant, elle se décida enfin, et avec appréhension elle déchira le haut du paquet et en extirpa l'un des langes. Elle rangea le paquet sous son lit, et manipula entre ses doigts le rectangle blanc molletonné. La sensation de douceur du plastique sous ses doigts la fit frissonner, son corps étant parcourut par un étrange courant électrique, qui alluma de petites lueurs autour d'elle pendant une fraction de seconde. Elle débarrassa son lit et déplia la couche. Une fois bien à plat, cette dernière lui semblait d'une taille démesurée. Elle se déshabilla lentement et une fois nue elle s'allongea sur son lit et sur le lange. Après avoir respiré une fois très profondément, elle tenta tant bien que mal de rabattre la couche sur son ventre. Après plusieurs tentatives, elle parvint enfin à serrer les attaches autocollantes sur ses hanches.

Elle se redressa lentement et se remit debout. Le plastique de la couche glissa sur sa peau nue lui procurant à nouveau un frisson agréable. Elle se sentit bien malgré ce qu'elle avait pu pressentir. Elle enfila son teeshirt, et prit la tutute. Elle la posa sur ses lèvres et la fit passer entre ses dents.

Encore une fois, la sensation ne fut pas aussi désagréable qu'elle aurait pu le croire. Elle consulta l'heure, il lui restait 30 minutes avant que le temps que sa mystérieuse correspondante lui avait donné ne soit écoulé. Elle décida de manger rapidement, avant tout. Elle prit le biberon et descendit à la cuisine. Elle mit son assiette aux micro-ondes, et pendant que cette dernière chauffait, elle rinça le biberon.

Elle avala son repas rapidement et remplit son biberon de lait, avant de le faire chauffer. Lorsqu'il fut prêt, elle le passa sous l'eau, l'essuya, et se dirigea vers sa chambre. Alors qu'elle passait dans le couloir, elle aperçut son reflet dans le miroir. Malgré son accoutrement elle ne put s'empêcher de se trouver mignonne. Un sentiment de légère honte l'étreignit et fit rosir ses joues, ce qui lui donna encore plus l'impression de voir le visage enfantin et joufflu d'une petite fille de quelques mois.

Elle regagna enfin sa chambre et hotta son tee-shirt pour ne plus se retrouver qu'en couche, la tutute toujours en bouche. Elle sursauta en voyant l'écran de l'ordinateur marquait 21 heures 20. Elle prit son téléphone portable, et malgré l'humiliation et le gène de savoir qu'elle serait vu ainsi, elle prit une photo de son visage, puis d'elle en entier, et enfin, prenant le biberon en bouche elle fit un dernier clichait. Elle transféra les photos sur son ordinateur et rédigea son mail après s'être rapidement créée une adresse mail.

" De Bébé nyny, à maman nyny, objet : devoirs: Bonsoir maman, J'espère que vous ne m'en voudras pas de mon tout petit retard, j'ai fait ce que vous me demandiez je vous joins les photos vous le démontrant. Bébé nyny."

Tout en attendant le chargement de son mail et la réponse qui ne tarderait pas à en découler, elle en était sûre, Fanny téta lentement son biberon en en oubliant même sa tenue et comment elle était en train de se comporter pour quelqu'un de son âge. Elle se reprit en entendant le bip de l'ordinateur. Comme elle s'y attendait, il s'agissait de la réponse à son mail qui venait d'arriver.

" De Maman, à Bébé nyny, objet ré: devoirs :

Bébé nyny, j'ai failli croire que tu avais décidé de revenir sur ta décision, et je m'étais déjà préparée à aller afficher ta jolie photo un peu partout. Je constate avec plaisir qu'il n'en est rien et j'en suis ravie. Un gros bébé comme toi, il ne te manquait plus que des couches pour affirmer ce que tu es vraiment. Voici ce que tu feras à partir de maintenant et sans limite de temps.

  1. tu porteras une couche sans interruption, que ce soit chez toi, au lycée, pour dormir, pour sortir...
  2. les toilettes te seront interdites sauf au lycée où tu pourras y aller pour changer ta couche.
  3. En cas d'impossibilité de te changer, plus de couche de rechange, pas d'endroit discret pour le faire, tu devras rester dans ta couche sale.
  4. tu boiras 2 à 3 biberons par jour, selon ta tranquillité. Entre temps, tu garderas ta tutute en bouche autant que possible, dès que tu seras seule, y compris pour dormir.
  5. lorsque tu feras dans ta couche comme la gamine que tu es, tu ne devras pas te changer immédiatement. Pour avoir le droit de le faire il faudra soit que tu attends 15 minutes après le popo, ou ton levée le matin, soit d'avoir fait 3 gros pipis consécutivement.
  6. tu m'enverras une à deux fois par jour un compte rendu détaillé de ce que tu as fait depuis ton dernier mail, en y joignant des preuves de ton obéissance comme tu viens de le faire.
  7. pour ce soir, tu auras le droit de rester debout jusqu'à 22 heures 30, après quoi les petites filles comme toi doivent aller au lit... tu mettras donc ton pyjama, pour dormir et tu auras le droit de lire une histoire pendant 15 minutes au maximum.

Je te souhaite une bonne nuit mon bébé, à demain, ta maman."

Fanny relut plusieurs fois le mail, à la fois terrifiée de ce qu'on lui demandait, mais aussi de jusqu'où on la ferait aller dans l'humiliation d'elle même. Elle resta pendant un long moment, en buvant son biberon puis en tétant machinalement sa tétine, tentant de définir les limites qu'elle ne devrait jamais dépassée. Cependant après une dizaine de minutes, elle se rendit compte que ses yeux se fermaient tout seul, sans qu'elle s'en rende compte. Elle éteignit son ordinateur, puis enfila un pyjama.

Elle s'allongea sous sa couverture, après avoir vérifié que sa porte fut fermée à clés, puis lança un jeu sur son téléphone portable. Elle se sentait vraiment bien, et se détendit rapidement. La protection de la couche qu'elle portait lui apportait la douceur et la protection délicate et chaude qu'elle n'avait pas ressentit depuis un long moment. Tout en continuant son jeu, elle tenta de se souvenir à quelle période elle avait ressenti pour la dernière fois ses sensations si délicieuses. Au bout d'un moment, elle réalisa qu'elle n'avait pas été aussi bien, depuis qu'elle était toute petite. Elle rougit à l'idée d'être bien en couche, mais n'eût pas le temps de s'en faire plus que nécessaire, ses yeux se fermant, et son esprit plongeant dans le sommeil soyeux de rêves enfantins.

Lorsqu'elle se réveilla la nuit était encore bien présente. Sa tutute avait glissé d'entre ses lèvres, et sa couche se faisait bien sentir entre ses cuisses. Elle regarda l'heure sur son téléphone portable, il marquait 2 heures 42. Sa vessie menaçait d'exploser et la jeune fille redoutait d'une part d'être découverte en couche si elle sortait de sa chambre, mais aussi d'autre part, de se lâcher volontairement dans son lange, et que ce dernier ne remplisse pas son rôle. De plus, porter une couche était déjà quelque chose d'humiliant, mais de la souiller en était une encore plus forte.

Elle résolue donc à tenter de se rendormir en se disant qu'elle saurait se retenir jusqu'à son levée, heure à laquelle elle pourrait accéder à la salle de bain et aux VCs. Elle remit sa tutute dans sa bouche, attrapa l'une de ses peluches couchées sur son lit, et la serra fort contre elle. Malgré son envie pressante, elle ne tarda pas à se rendormir profondément, la joue contre son ours.

Lorsque le réveil de son téléphone portable retentit à 7 heures, Fanny ouvrit un œil encore embrumé. Elle avait toujours la joue serrée contre sa peluche et sa tutute posée en équilibre entre ses lèvres entre ouvertes.

Elle la reprit délicatement en bouche et la suça pendant quelques secondes, en savourant ce moment de douceur que la veille encore elle avait oublié et ne pensait pas concevable. Son lange se faisait sentir entre ses cuisses mais restait agréable, doux et délicat.

Elle bailla, s'étira, et décida de se lever. Elle posa sa tutute sur sa table de nuit, et se redressa. Elle constata sa situation lorsqu'elle se mit sur ses pieds. Le lange qu'elle portait se fit plus lourd que la veille, plus gonflé. Malgré cela, la sensation en restait souple et soyeuse. Elle s'observa dans le miroir recouvrant la totalité de la porte de son placard, et se trouva soudain ridicule.

Accoutrée de son pyjama, moulant sa couche pendant sous elle, cela lui parut grotesque. Elle se déshabilla rapidement, en comprenant bien vite que malgré tous ses efforts, elle avait eu de la chance d'avoir sa couche, sinon ses draps auraient été trempés. Elle en rougit, mais son humiliation fut à son comble lorsqu'elle hotta les collants qui maintenaient encore la couche bien fermée sur ses hanches. Le lange sembla glisser au ralenti et tomba au sol dans un bruit mou. Fanny ; le ramassa et le considéra. Celui ci était gonflé, le coton semblait être compact et imbibé par un liquide dont les traces jaunâtres étaient encore bien visibles sur la face intérieure de la couche. Une odeur assez prononcée s'en dégager, que fanny ne put que reconnaître.

Elle replia la couche, et la jeta dans sa poubelle de bureau avant de remettre son pyjama et de passer à la salle de bain. Elle y prit une douche rapide, et regagna sa chambre, le corps enroulé dans une immense serviette éponge. Alors qu'elle franchissait la porte de sa chambre et qu'elle allait la refermer, la voix de sa mère se fit entendre du ré de chaussée.

"- Fanny, tu es levée?

  • Euh oui maman...
  • Ah, il faut te déposer au lycée ou pas? Papa va partir dans 15 minutes...
  • Euh non, je commence à 9 heures...
  • D'accord... je file, à ce soir ma chérie.
  • à ce soir maman..."

Fanny ferma la porte et la boucla à clés. Elle s'assit sur le bord de son lit face à son miroir après avoir attraper une brosse et se coiffa soigneusement. Elle se leva pour s'habiller, quand son regard s'arrêta sur la couche au fond de la corbeille et sur son ordinateur juste à côté. Elle eût un frisson d'angoisse alors que le pacte qu'elle avait dû accepter la veille se rappelait à son esprit. Elle se passa les mains sur son visage en se demandant comment elle allait faire pour cacher cela aux a gens qu'elle croiserait dans la rue ou au lycée...

Que dirait ses parents, ses amis si ils l'apprenaient? Ophélie par exemple, elle la prendrait pour une folle!

À contre cœur, elle alluma son ordinateur et relut le dernier mail qu'elle avait reçu. Elle prit ensuite une couche propre, la déplia, et la referma sur ses hanches maladroitement. Elle enfila une culotte assez ample en tentant d'y contenir son lange pour que celui-ci se fasse le plus discret possible.

Elle regarda l'heure et voyant qu'elle avait encore une bonne heure devant elle, elle attendit que son père eût claqué la porte de la maison avant de descendre au ré de chaussée. Elle remplit son biberon de lait qu'elle fit chauffer. Et remonta dans sa chambre avant de se remettre sous les couvertures pour le boire. Elle prit quelques clichés de ce dernier encore plein, d'elle même en couche culotte, et les transféra ensuite sur son ordinateur. Elle finit enfin par s'habiller, et rassembla ses affaires. Elle finit de se préparer, rangea soigneusement le paquet de couches sous son lit, sa tutute dans le tiroir de sa table de chevet, et passa à la salle de bain pour se maquiller.

Une foi tout à fait prête elle réalisa qu'elle avait obligé de se munir d'une couche ou deux de rechanges. Elle se précipita dans sa chambre, extirpa le paquet du dessous de son lit, en sortit deux langes, les enfouis dans son sacs et rangea le paquet. Avant de sortir de la chambre, son regard tomba sur son reflet dans le miroir. Elle constata avec soulagement que malgré la sensation qu'elle pouvait ressentir, sa couche restait invisible sous ses vêtements. Elle ferma soigneusement la porte de sa chambre, son sac sur l'épaule et partit pour le lycée.

Durant tout le temps du trajet, fanny eût l'impression que tout le monde la regardait, et semblait pouvoir découvrir ce qu'elle dissimulait. C'est le rouge aux joues qu'elle atteint la grille du lycée et traversa le court pour gagner le haut bâtiment d'enseignement. Lorsqu'elle put enfin s'asseoir en classe, Ophélie assise juste derrière elle lui sourit.

  • Tu as couru? Tu as l'air d'être essoufflée...
  • Euh non... J'ai un peu chaud c'est tout bredouilla Fanny.
  • Tu ne te sens pas bien? Tu es toute rouge...
  • Ça va, ça va passer...
  • Tu es sûre?
  • Oui, ne t'en fais pas..."

Le professeur débuta son cours, interrompant les deux jeunes filles. Chacune d'entre elles se retourna vers son cahier et se concentra sur la leçon. Vers 11 heures Fanny ressentit un petit élancement caractéristique. Elle tenta de refouler l'envie qui commençait à la gagner, mais après une bonne vingtaine de minutes d'efforts elle ne plus pu faire autrement que de laisser échapper quelques gouttes d'urine dans sa couche, puis de se laisser complètement aller. Elle sentit le liquide chaud se répandre sous elle, remonter sur son pubis et sur c'est fesses, faisant gonfler son lange. La chaleur de son urine lui procura une sensation agréable qui se mêla bientôt à l'infini soulagement qu'elle éprouva de s'être libérer de cette envie sans avoir risqué d'être découverte.

Elle se dit qu'elle irait se changer à la sortie du cours, mais se rappela les consignes, et se ravisa.

La journée se poursuivit tranquillement malgré l'appréhension que la jeune fille ait d'être découverte. Durant l'après midi, elle ne put faire autrement que de se soulager à nouveau dans son lange... Lorsqu'elle rentra enfin chez elle, elle fonça dans sa chambre, pour ôter ses vêtements. Sa protection à présent complètement trempée lui rembourrait bien le pubis, la vulve et les fesses. C'est seulement vers 19 heures qu'elle se soulagea pour la troisième fois, puis après avoir pris un clichait de sa couche sale, elle l'enleva, l'enferma dans un sac plastique avec son lange de la nuit précédente, et courut sous la douche avec bonheur pour se laver.

Une fois propre, et revenu dans sa chambre, elle prit sa tutute, et la téta tout en se couvrant les hanches d'un lange propre, d'une culotte et de son pyjama bien ample. Elle transféra le reste des photos sur son ordinateur et les joignit à son mail.

De : bébé nyny, à maman nyny, objet: journée : " Bonsoir maman, comme je m'y suis engagé, voici les preuves que je vous ai obéit. J'ai fais 4 fois entour dans mes couches, une fois cette nuit et trois fois aujourd'hui. Je vais boire mon biberon du soir en me couchant. J’espère que vous serez satisfaite. Bébé nyny."

Elle envoya son mail et descendit au ré de chaussé rejoindre ses parents. Elle dîna rapidement et regagna sa chambre. Elle se plongea dans ses cours après avoir lancer un album de musique.

Quelques minutes plus tard cependant sa concentration fut perturbée par une grosse envie... Par un réflexe défensif vague elle mit ses mains sur ces yeux, en sentant ses intestins gargouiller. Elle s'était déjà dit qu'il faudrait que ça lui arrive tôt ou tard, mais elle ne s'attendait pas à se que ça soit aussi humiliant que ce qu'elle ressentait alors. Elle se retint le plus longtemps possible, et après un long moment, n'ayant pas d'autre choix elle se relâcha lentement et poussa pour écourter la durée de son calvaire.

Elle sentit une masse molle et chaude s'extirper d'entre ses fesses, puis s'écraser au fond de son lange. Au fur et à mesure que cette matière s'écoulait hors d'elle elle la sentait s'écraser et s'étaler sur ses fesses, son périnée et son entre cuisse. L’odeur qui lui montait aux narines lui fit bientôt hoqueter de dégoût. Elle ouvrit la fenêtre, pour aérer. Elle attendit un quart d'heure, avant de retirer sa couche, de la jeter et de se précipiter à la salle de bain pour se nettoyer. Elle réenfila une couche propre, et remit son pyjama et réalisa qu'elle n'avait pas pris le temps de se photographier avant sa douche. Elle décida donc de photographier sa couche sale comme preuve de son acte, et l'envoya par mail.

Lorsqu'elle se coucha, il était 21 heures 50. Elle se glissa sous ses couvertures, prit son ours en peluche, son biberon et le bu doucement après avoir prit soin d'avoir fermé sa porte à clé. Une fois son biberon fini, elle le posa sur sa table de chevet, en sortit du tirroir sa tutute, la prit en bouche, ferma les yeux, et s'endormit quelques minutes plus tard.

Lorsqu'elle se réveilla le lendemain matin, elle se surprit à caresser sa couche alors qu'elle était encore au lit... elle dû admettre après quelques instants que même si elle avait honte de sa situation et qu'elle avait une terrible peur d'être découverte ainsi, elle commençait à apprécier le fait d'avoir une couche. Elle dû également admettre que d'avoir sa tutute ou son biberon en bouche l'apaisait et lui donner un sentiment, une sensation de douce protection. Elle ne savait pas expliquer pourquoi elle ressentait cela, mais c'était ainsi. Cependant, malgré ces choses positives, elle se dit qu'elle ne devait pas en faire état à qui que ce soit, ceci pouvant accentuer encore la gravité de sa situation et l'emprise qu'on pouvait avoir sur elle.

Elle se leva, prit des clichés de sa couche qui comme la veille était bien humide, puis passa à la salle de bain rapidement pour une douche bien chaude. Elle se langea, s'habilla, se maquilla et descendit au ré de chaussée son sac sur l'épaule.

Sa mère venait de partir, mais son bol, était prêt sur la table. Elle chercha quelques minutes après son père mais ne le trouvant pas elle se résigna à rejoindre le lycée par le bus. Quand elle aperçut la pendule de la cuisine, elle sursauta en voyant l'heure. Elle avala précipitamment un verre de jus de fruit, attrapa un paquet de gâteau dans un placard et sortit en courant de la maison pour rejoindre l'arrêt de bus le plus proche tout en mangeant ses gâteaux.

La matinée au lycée se déroula comme celle de la veille. À midi, la couche de Fanny était déjà bien trempée et c'est ainsi qu'elle commença l'après-midi. Lors de la pause de 15 heures cependant, Fanny sentit qu'une envie commençait à se faire pressante. Consciente que si elle tentait de retarder les choses elle serait très certainement trahit par les effluves que ça pourrait entraîner, et donc qu'elle serait très certainement découverte, elle poussa de toutes ses forces en tentant de rester le plus impassible possible. La sensation de sa couche se remplissant ne se fit pas attendre, et bientôt elle sentit cette dernière s'alourdir et être tapissée abondamment. Les gens autour d'elle ne s'étaient apparemment rendu compte de rien, jusqu'au moment où une fille s'exclama tout haut :

  • Beurk, ça pu ici...
  • Ah, ouais, c'est vrai! répondit une autre fille.
  • Ouah les filles!!! Qui c'est qui a fait dans son froc!!! Railla un garçon
  • Bah!! Tu sens fanny, ça pu!! Ria Ophélie.
  • oui c'est vrai bafouilla Fanny en sachant très bien d'où venait l'odeur et tentant de se composait un air naturel.
  • Aller les filles à poil! On va voir qui a chié! reprit le garçon en riant et en attrapant une jeune fille et en faisant mine de la déshabiller.
  • Putain faut qu'il retourne à l'école maternelle celui qui a fait dans son pantalon c'est crade!!!"

Fanny sentit la honte et la peur de se faire découvrir l'envahir et la submerger. Les larmes lui montèrent aux yeux, et alors qu'elle allait fondre en larmes, elle ramassa son sac, se retourna et partit précipitamment vers la porte donnant sur la court et les toilettes.

" - Eh! Fanny! Où vas-tu? s'écria Ophélie en voyant son amie s'éloigner rapidement.

  • Je, je reviens faut que je prenne l'air..."

En quelques secondes elle arriva dans les toilettes et se jeta dans l'une des cabines, avant d'en refermer la porte. Elle posa son sac, baissa son pantalon et sa culotte et arracha les collants de sa couche. Elle la replia, la posa au sol et entreprit de s'essuyer tant bien que mal. Elle venait de remettre une couche propre, lorsque la porte de sa cabine qu'elle avait mal fermé s'entrouvrit, progressivement.

Fanny attrapa la porte et la referma précipitamment.

  • désolée, c'est occupé...
  • Fanny? dit une voix de l'autre côté, c'est moi...
  • Ophélie?
  • oui, ça va?
  • euh oui... j'arrive...
  • tu m'ouvres?
  • Euh attends j'ai bientôt fini...
  • aller fanny...
  • J'arrive, j'arrive...
  • Bon fanny, suffit là... dit soudain Ophélie en tirant brusquement sur la porte."

Fanny remonta et reboutonna son pantalon pour dissimuler sa couche, mais Ophélie était déjà devant elle et l'avait repoussé au fond de la cabine, la bloquant dans un coin.

  • Je pense que tu me dois des explications non?
  • Mais que fais-tu?
  • Suffit Fanny, tu' m'expliques ce qui t'arrive?
  • Mais lâches-moi! Ophélie! Tu me fais mal!
  • Arrêtes ton cirque fanny! Ou je devrais peut être plus dire bébé nyny pour que tu obéisses?
  • Mais... sursauta Fanny en se figeant de stupeur.
  • Tu m'as bien compris... vociféra Ophélie en maintenant toujours son amie qui avait cessé de se débattre."

Fanny sentit les larmes lui monter à une vitesse folle en comprenant que l'auteur du chantage dont elle était la victime n'était autre que sa meilleure amie. Elle ferma les yeux, et alors qu'Ophélie relâchait son étreinte sur ses poignets, la jeune fille se laissa tomber et s’affaissa sur la cuvette. Elle enfouit sa têtes dans ses mains et se mit à sangloter sans plus pouvoir s'arrêter.

Ophélie la laissa faire pendant quelques minutes, puis s'accroupit avant de caresser lentement les cheveux de son amie. D'une main, elle saisit délicatement l'une des mains de Fanny et l'éloigna lentement de son visage. Elle fit la même chose avec l'autre, et tout en les bloquant elle obligea Fanny à lever la tête pour la regarder.

  • aller arrête de pleurer ça n'est pas grave. Dit-elle doucement. Calme toi... ça va aller. Continua-t-elle en essuyant les larmes qui continuaient toujours de couler des yeux de sa camarade."

Un long moment s'écoula, sans qu'il n'y ait aucun gestes ni aucun son entre les deux amies hormis les sanglots de fanny, qui diminuèrent peu à peu. Lorsque ces derniers furent à peu près inexistants, Ophélie attira Fanny contre elle et la berça lentement.

" Là c'est tout mon bébé... on va retourner en cours. Je ne dirai rien pour ta couche sale ne t'en fais pas. Mais je veux que tu ne change rien sinon je serai obligée de le faire. D'accord? Et je veux aussi que tu gardes ton téléphone près de toi ce soir je t'appellerai. Reprit elle alors que fanny acquiesçait timidement."

Après encore quelques instants, elles regagnèrent leurs salles de cours.

Le reste de la journée se déroula sans autre incident au grand soulagement de Fanny. La jeune fille ne demanda pas son reste lorsque la sonnerie annonçant la fin des cours retentit. Elle enfoui ses affaires dans son sac, et le jetant sur son dos, elle sortit rapidement du lycée et rentra chez elle sans adresser le moindre mot ni le moindre geste à qui que ce soit.

Une fois arrivée dans sa chambre, elle jeta son sac, se déshabilla rapidement, et arracha le lange qu'elle portait encore, et la lança rageusement dans la poubelle avant de s'écrouler sur son lit en sanglots. Elle se détestait, détestait Ophélie qui l'avait mis dans cette situation, détestait la faiblesse de son esprit...

Elle pleura longtemps, roulée en boule sur son lit, le visage enfoui dans son oreiller et contre le ventre de la peluche qu'elle avait serré contre elle par réflexe. Après une bonne demi-heure ainsi, ses sanglots et ses larmes s'étaient estompées progressivement, et grelottait de froid. Elle se motiva difficilement, mais finit par se lever et à gagner la salle de bain pour une douche rapide. Malgré la tension nerveuse qui accablait son esprit, l'eau chaude et les douces vapeurs parfumées de son savon, elle se détendit, et retrouva un semblant de sérénité.

Elle s'enroula dans une grande serviette, rejoignit sa chambre et se blottit sous ses couvertures. Elle rattrapa sa peluche et la serra très fort contre elle en fermant les yeux. Elle resta ainsi pendant un moment, et s'endormit sans s'en rendre compte.

Lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle se rendit compte qu'elle suçait son pouce, son ours toujours collé contre elle. Elle s'étira et machinalement elle prit sa tutute qu'elle mit dans sa bouche. Elle s'en rendit compte, et rougit en la retirant, et en la reprenant en bouche après une hésitation.

Quelques minutes passèrent ainsi, pendants lesquelles elle resta immobile à téter doucement, les yeux fermés. Ce fut la sonnerie de son téléphone portable qui la fit sursauter. Elle posa sa tutute sur la table de chevet, se leva et fouilla dans son pantalon à la recherche de son téléphone.

Lorsqu'elle regarda le nom qui s'affichait sur l'écran de l'appareil, elle frissonna en apercevant le nom de son amie. Elle hésita pendant une fraction de secondes, puis décrocha juste avant que l'appel ne s'achève.

  • Allo?
  • Nyny?
  • Euh, oui?
  • C'est maman. Tu vas mieux?
  • Euh, que me veux tu?
  • Rien de mal, Rassure-toi. Je veux déjà m'excuser d'avoir été peut être un peu trop dur et contraignante dans mes consignes te concernant.
  • Vraiment?
  • Oui mon bébé.
  • Donc ça veut dire qu'on arrête ce jeu ridicule... Soupira Fanny à demi soulagée.
  • Minute ma grande. J’ai dis que je m'excuser, pas qu'on arrêtait.
  • quoi? Mais tu...
  • Mais je n'ai rien dit à ce sujet Nyny.
  • Et qu’attends-tu de moi alors? Demanda anxieusement Fanny en serrant sa peluche contre elle.
  • Et bien, je me disais que, l'on pourrait passer le week end ensemble. Qu’en penses-tu?
  • Euh, oui, peut-être, enfin j'en sais rien, bafouilla Fanny qui n'osait deviner ce qui l'attendait.
  • De toute façon, je crois que je n'ai pas besoin de te rappeler ce qui pourrait arriver si tu refuse ou si tu te défiles...
  • Euh, non, je ne me défilerai pas. Murmura Fanny en comprenant que le chantage dont elle était victime ne s'arrêterait pas aussi facilement qu'elle l'osait le croire.
  • D'autant plus, reprit Ophélie avec un sourire sadique dans la voix, je commence à avoir une petite collection d'images sympathiques te concernant. Je te laisse donc réfléchir me dire comment nous nous organiserons, mais je dois savoir quoi avant dix heures ce soir.
  • Euh, bredouilla Fanny sans attendre, mes parents partent pour le week-end, je suis donc seule à la maison tout le temps. Si ça peut te convenir j'en parle avec ma mère et je te confirme.
  • Pourquoi pas, oui.
  • Très bien je te rappelle alors dès qu'elle est rentrée.
  • Très bien. Mais dis moi mon bébé la couche que tu portes est-elle propre?
  • Euh, oui mentit Fanny.
  • J'espère que tu en porte une mon bébé, que tu ne me maints pas?
  • Euh non.
  • Bon. Et on dit non maman, mon bébé.
  • non maman.
  • Bon, j'attends ton appel alors. À tout à l'heure mon bébé."

La communication se coupa brutalement, laissant Fanny avec le téléphone collé à l'oreille.

Elle reposa lentement son téléphone, et reprit sa tutute en bouche. Elle se rallongea pendant quelques minutes encore sous ses couvertures, puis se décida à se relever. Elle prit son pyjama, enfila la veste, et alors qu'elle allait faire de même avec le pantalon elle s'arrêta brusquement en pensant qu'elle devait pouvoir prouver ses actes sous peine de se voir sanctionnée avec l'exhibition f o r c é e qu'elle devrait afficher.

Elle posa donc son pantalon sur son siège de bureau, et extirpa le paquet de lange de dessous son lit duquel elle en retira une couche. En frémissant et en repensant à son humiliation de l'après midi. Elle la déplia et l'étendit sur le lit avant de se coucher dessus et de la refermer sur ses hanches. Malgré son souvenir qui lui marteler encore le cerveau, la douceur du coton et du plastique sur sa peau lui procurèrent des sensations agréables.

Elle enfila par dessus une culotte avant de passer son pantalon de pyjama. Elle s'assit devant son ordinateur et se mit à ses devoirs. Lorsque sa mère rentra enfin, elle finissait la lecture d'un chapitre d'un ouvrage historique. Elle posa son livre, et descendit au rez-de-chaussée pour rejoindre sa mère qui s'était déjà mis à préparer le repas du soir.

  • Bonsoir maman! S'exclama-t-elle en embrassant sa mère.

  • Bonsoir ma chérie, ta journée a été bonne?

  • Euh, oui. Dis-moi maman?

  • Oui?

  • Euh, je me disais que, comme je suis toute seule ce week-end, je pourrais peut-être inviter Ophélie à venir à la maison?

  • C'est une bonne idée oui. Pourquoi pas.

  • Ça ne t'embête pas?

  • Non ma chérie, du moment que la maison soit en ordre quand nous rentrerons, et que tu fermes bien les portes quand tu ne sors pas de souci.

  • Merci maman! Je vais appeler Ophélie tout te suite.

  • Bien mais après tu redescends le dîner va être prêt.

  • Oui, oui maman..."

Fanny remonta dans sa chambre, et s'assit sur son lit en prenant son téléphone. Elle chercha le nom d'Ophélie dans sa liste de contacts et appuya sur le bouton d'appel.

  • Allo? Répondit la voix d'Ophélie après trois sonneries.
  • Allo, c'est Fanny.
  • Qui?
  • Fanny.
  • Fanny? Je ne connais pas de Fanny.
  • C'est bébé Nyny. Bafouilla Fanny en rougissant.
  • Ah, oui ça je connais qui c'est.
  • J'ai parlé à ma mère, elle est d'accord pour que tu passes le week-end ici.
  • Bon très bien. Le plus pratique je pense c'est qu'on revienne directement des cours chez toi.
  • Euh oui si tu veux.
  • Très bien, alors à demain mon bébé, je te souhaite une bonne nuit et n'oublie pas tes devoirs pour moi.
  • oui, Bonne nuit maman. bredouilla Fanny avant de raccrocher."

Elle posa le téléphone sur son bureau et redescendit pour dîner, se demandant bien ce que les jours à venir lui réserveraient. La soirée se passa fort calmement, Fanny remonta dans sa chambre après le dîner en emportant discrètement une bouteille de lait avec elle, dont qu'elle versa en partie dans son biberon une fois qu'elle se fut enfermée à clé.

Elle but son biberon en relisant ses cours, et prit des clichets d'elle-même qu'elle envoya à Ophélie. N'ayant pas sali sa couche, elle se mit au lit en prenant sa tutute en bouche et son ours dans ses bras. Elle s'endormit rapidement et ne se réveilla que lorsque le réveil de son téléphone retentit lui demandant de se lever.

Elle s'attendit à ce que sa couche fut mouillée, mais malgré ça, elle s'étonna encore se sentir son lange gonflé et pendre entre ses cuisses lorsqu'elle se mit debout. Elle l'hotta, passa à la salle de bain puis revint dans sa chambre, remit un lange propre, s'habilla, prépara son sac en prenant soin de s'assurer que deux couches de rechanges s'y trouvent, puis elle descendit au ré de chaussée. Elle déjeuna rapidement, et partit pour le lycée.

Ophélie vint à sa rencontre lorsque Fanny arriva devant les bâtiments de pierre. Elle lui fit la bise comme si de rien était, et l'entraîna dans un petit recoin dans la court.

  • Mon bébé a bien dormi? Dit-elle en posant sa main discrètement sur les fesses de Fanny et en palpant ces dernières.
  • Oui maman, bredouilla Fanny en rougissant.
  • C'est bien je vois que tu es sage, tu as mis ta couche, reprit Ophélie en constatant sous ses doigts l'épaisseur matelassée du lange.
  • Oui maman.
  • Bon tu es prête à passer un bon week-end avec t'a maman?
  • Qu’allons-nous faire?
  • Ça tu le verras en temps voulu. Tu as intérêt à t'être avancé dans tes devoirs, je veux pouvoir m'occuper de toi sans que tu doives réviser ou finir des exercices longs et inintéressants.
  • Oui maman, je profiterai de l'heure de permanence pour finir ce qu'il me reste.
  • Ok, très bien. J'ai hâte d'être rien qu'avec toi. J'ai tout prévu tu vas voir on va bien s'amuser."

Les deux jeunes filles rejoignirent les autres élèves et entrèrent en classes quelques minutes plus tard.

La journée passa rapidement, et l'heure de la fin des cours arriva bien vite pour Fanny qui appréhendait la soirée et les jours à venir. À 17 heures 30, les deux jeunes filles sortirent de classes, et se retrouvèrent quelques minutes plus tard dans le bus. Ophélie portait son sac de cours ainsi qu'un deuxième sac qu'elle avait récupéré dans son casier avant de quitter le lycée. Le bus les déposa bientôt à 100 mètres de chez Fanny et les deux amies parcoururent la distance qui les séparait encore de la haute maison.

Fanny sentait sa couche gonflée bien plaquée contre sa vulve, son pubis et ses fesses, les massant délicatement en se balançant lentement à chaque pas qu'elle faisait. Elles montèrent dans la chambre de fanny, pour qu'Ophélie y pose ses affaires. Elles allaient redescendre lorsqu'Ophélie arrêta Fanny et la plaquant contre un mur, passa sa main sur les fesses et l'entre jambes de son amie, qui dans un réflexe de défense serra les cuisses. " - Allons nyny, ta maman n'a pas le droit de vérifier l'état de son bébé?

  • Si maman, pardon. Murmura Fanny en baissant la tête et en desserrant les jambes.

  • Tu as fais dans ta couche?

  • Euh, oui... Murmura Fanny de plus en plus rouge de honte.

  • Bon on te changeras quand tes parents seront partis." Ophélie caressa encore le pubis de son amie, puis les deux filles descendirent au ré de chaussée alors que la mère de fanny franchissait le pas de la porte.

  • Bonsoir les filles! S’exclamma-t-elle en les apercevant.

  • Bonsoir maman, on vient aussi de rentrer.

  • Bonsoir madame.

  • vous avez passé une bonne journée?

  • Oui ça va. répondit Fanny.

  • Bon je vais préparer quelques affaires et je repars juste après, papa m'attends à sa société nous partons directement.

  • Ah ok, vous revenez quand? demanda Fanny.

  • Euh je ne sais pas, normalement dimanche dans l'après-midi ou le début de soirée, tout dépend de la circulation. Mais je passerai un petit coup de fil.

  • Ok maman.

  • Bon allez je me dépêche. Sers à boire à Ophélie ma puce peut être?"

Fanny acquiesça alors que sa mère avait posé ses affaires et montait déjà l'escalier. Les deux jeunes filles passèrent dans la cuisine, et Fanny s'approcha du frigo alors qu'Ophélie s'asseyait sur une chaise.

" - Tu veux boire quoi? Demanda Fanny en ouvrant la porte du réfrigérateur.

  • Humm, une limonade s'il te plaît.
  • Ok, dans un verre comme ça? Reprit Fanny en sortant un verre du placard après avoir sortit la bouteille de limonade.
  • Euh, tu as des verres plus grands?
  • Humm, oui il y a celui-là, dit Fanny en sortant un verre quasiment deux fois plus volumineux.
  • Ok, alors pour moi un verre comme le premier et toi deux grands verres.
  • Deux? Mais je vais avoir envie de... Bafouilla Fanny en regardant Ophélie craintive.
  • Tu veux désobéir Nyny? Pas de souci. Sourit Ophélie en sortant son téléphone portable.
  • Non, non, arrêtes! Je vais les boire! Ne fais rien!
  • Bon tu vois quand tu veux..."
  • Bon les filles j'y vais, dit la mère de fanny en entrant dans la cuisine. Soyez sage, ne casser rien, et faites attention à la maison. Vous pouvez vous faire ce que vous voulez à manger le congélateur et le réfrigérateur sont plein. Passez un bon week-end!
  • Toi aussi maman! Je t'aime!
  • Moi aussi je t'aime ma chérie répondit la maman en repartant vers le couloir.
  • Ne vous en faites pas madame, je veille sur votre fille. lança Ophélie en riant.
  • Merci, bon week-end! s'exclama la mère de nouveau en sortant de la maison et en claquant la porte derrière elle.
  • bon, nous voilà enfin seul mon bébé! Sourit Ophélie. Et en finissant son verre. Allez finit ta limonade, et on va allez s'occuper de cette couche sale."

Fanny hocha la tête timidement, en buvant l'énorme verre de limonade. Elle mit du temps à ingurgiter le deuxième, et lorsque ce fus fait, elle avait l'impression que sa vessie allait exploser.

Elle se dirigea à la suite d'Ophélie vers sa chambre, mais arrivée au milieu de l'escalier, elle ne put se retenir davantage, et elle sentit un flot d'urine envahir sa couche déjà gorgée abondamment.

Arrivée en haut de l'escalier, Ophélie se retourna, et voyant son amie immobile en plein milieu de l'escalier, son visage s'éclaira en comprenant ce qu'il se passait. Une fois le flot d'urine calmé, Fanny monta prudemment les quelques marches restantes, et rejoignit Ophélie à l'étage. Elles rentrèrent dans la chambre, et Ophélie se tourna vers fanny en la fixant sévèrement.

" Bon on va changer cette petite fille pas propre n'est-ce pas mon bébé?

  • oui maman, Murmura Fanny.
  • Je vais préparer ce qu'il me faut assieds toi par terre sur le palier j'arrive. Où est ta tutute?
  • Dans le tirroir de la table de chevet.
  • Tiens reprit Ophélie en sortant la tutute et en la tendant à son amie, qui la prit et la glissa entre ses lèvres en rougissant. Très bien tu es une mignonne petite fille sourit Ophélie."

Fanny obéit docilement, sachant pertinemment qu'elle devait jouer le jeu sans broncher sinon son amie mettrait en œuvres ses menaces sur les champs. Elle sortit donc de la chambre et s'assit par terre. Elle entendit Ophélie farfouillait dans son sac, en sortir des choses, puis apparut sur le palier. Elle fit signe à Fanny de la suivre et toutes deux revinrent dans la chambre. Une grande serviette était étendue sur le lit, et plusieurs flacons étaient alignés sur la table de chevet. D'un geste Ophélie indiqua le lit, et Fanny vint s'y asseoir sans un mot.

  • On va se changer mon bébé, mais avant je veux que tu me donne tes mains."

Fanny hésita pendant un instant mais résolue à faire ce qu'il fallait pour ne pas attiser l'éventuelle contrariété d’Ophélie, elle tendit ses mains. Elle s'étonna de voir son amie sortir une paire de moufle dont les pouces semblaient être cousus au reste des gants. Ces derniers les recouvrirent bien vite. Ophélie serra une large bande autour ses poignets, lui interdisant de retirer ses nouveaux gants après quoi elle se recula et admira son œuvre.

  • On va se changer bébé? Demanda-t-elle après un moment.
  • Vi maman Répondit Fanny à travers sa tutute.
  • Il faut se déshabiller, je vais t'aider.
  • Ze, peux le faire toute seule.
  • Si tu veux ma grande, sourit Ophélie."

Fanny, le feu aux joues, entreprit de retirer son pull, et son haut, mais ne parvint qu'à le faire remonter sur son ventre. Elle décida donc de s'occuper de son pantalon, mais là aussi impossible de saisir correctement son vêtement pour le manipuler. Ophélie regarda avec amusement son amie se débattre avec ses habits, et après une dizaine de minutes elle se décida à intervenir.

-- Veux tu que je t'aide ma chérie?

  • Euh, Ben vi maman. Répondit Fanny en baissant les yeux au comble de la honte."

Ophélie s'approcha donc, et lentement fit remonter le pull et le haut de Fanny qui leva les bras pour que ceux-ci glissent mieux. Ophélie s'occupa ensuite du soutient gorge qu'elle dégrafa et hotta, découvrant ainsi complètement le dos, les bras, le ventre et la poitrine de Fanny. Elle la poussa doucement vers l'arrière, l'obligeant à s'allonger sur le dos. elle lui retira ses chaussures, ses chaussettes, et lui fit lever les pieds bien haut avant de déboutonner son pantalon et de le faire descendre sur ses chevilles puis de le retirer et de faire de même avec la petite culotte, ne laissant à Fanny que sa couche pour seul vêtement.

-Oh mais c'est une couche toutes mouillée mon bébé? C’est ma nyny qui a fait un gros pipi..."

Fanny détourna le regard aux mots de son amie, plongeant indéfiniment dans un gouffre de honte dont elle ne savait dire où se trouverait le fond. Les adhésifs de la couche sautèrent sans difficultés sous les doigts d'Ophélie laissant apparaître l'intérieur de la couche imbibée par une mare jaunâtre et odorante, mais aussi le pubis, l'entre jambes et les fesses souillées d'urine de la jeune fille.

Cette dernière sentit tout d'abord l'air frais sur ses parties intimes, puis une lingette humide passer sur l'intérieur de ses cuisses, sur sa vulve, son pubis, entres ses fesses... Une poudre se déposa ensuite aux mêmes endroits puis une crème et enfin le coton d'une couche propre vint se refermer autour de ses cuisses et de ses hanches. Tout de suite Fanny sentit que la sensation n'était pas la même, et leva la tête. Elle pâlit en voyant la grosseur du lange qui lui donnait des grosses fesse rebondies et qui lui empêchaient de serrer complètement les cuisses tellement le paquet qui se trouvait entre ces dernières était épais. Ophélie, ne se souciait pas de la réaction de son amie, et lui passa une large culotte de pvc, dans laquelle la couche disparut complètement.

" On va mettre le pyjama maintenant que bébé est toute propre. Dit Ophélie en souriant narquoisement."

elle farfouilla dans l'un de ses sacs, et en sortit un grand paquet qu'elle déplia et qu'elle enfila à Fanny en commençant par les pieds, en remontant le longs des jambes, des cuisses, des hanches, enfila ensuite les bras et aidant Fanny à se redresser, elle remonta la fermeture éclair de la grenouillère rose avant de glisser deux petits rubans situés de part et d'autres de la fermeture éclair sur l'arrière du col, dans l'anneau de la fermeture éclair elle-même et de les nouer.

Fanny se remit debout et aperçut son reflet dans son miroir. Son visage déjà bien rouge, s'empourpra encore découvrant sa tenue rose et le petit ours brodé sur son ventre, surmonté des mots : "super bébé". Le renflement de son pubis, son entre jambes et ses fesses lui donnait un air d'autant plus ridicule qu'enfantin, renforcé par sa tutute trônant toujours fièrement dans sa bouche.

Ophélie lui fit enfiler une petite paire de chaussons garnis de pompons puis elles descendirent au salon. Ophélie fit allonger Fanny sur le canapé et la regarda tendrement.

  • On est contente que maman soit là pour s'occuper de son bébé ma chérie?
  • Vi maman. Murmura Fanny à travers sa tutute, alors qu'elle rougissait de plus belle.
  • Tu vas être une grande fille?
  • Vi maman.
  • Tu veux jouer au parc ou regarder la télévision?
  • Regarder la télé...
  • Et tu veux regarder quoi ma puce?
  • Un film de...
  • Eh non, pas de film ça n'est pas pour les petites filles. Interrompit Fanny. ON va mettre un dessin animé de princesse comme toi. Reprit Ophélie en allumant la télévision et en glissant un disque dans le lecteur DVD. Tu aimes ça les princesses?
  • Vi maman gazouilla fanny docilement.
  • Allez regarde ton dessin animé sagement maman va préparer le repas."

Ophélie déposa un baisé sur le front de Fanny, et gagna la cuisine après être remontée dans la chambre pour récupérer quelques affaires. Elle vint à plusieurs reprises pour vérifier que son bébé était tranquille, puis repartez à ses occupations. Après une demi-heure, elle revint au salon et mit le dvd en pause en se tournant vers Fanny.

" Va mon bébé on va manger!"

Les deux jeunes filles passèrent dans la cuisine, et Fanny resta pétrifiée de stupeur en découvrant le tableau. Ophélie la fit asseoir face à elle, seule une petite cuillère était posée. Ophélie déposa une assiette pleine de coquillette et de jambon coupé en petits morceaux, avant de retirer délicatement la tutute de la bouche de fanny et de la poser près de son assiette. Elle noua ensuite un bavoir autour du cou de son amie, et vint se rasseoir face à elle.

" Bon appétit ma puce.

  • Bon appétit maman. répondit Fanny en tentants d'attraper sa cuillère sans y parvenir.
  • Tu veux de l'aide ma chérie?
  • Euh, Euh...
  • Tiens. Dit Ophélie en posant la cuillère dans la main gantée de Fanny.
  • Merci maman. Rougit Fanny en tentant d'attraper quelque pâte et en lâchant maladroitement la cuillère.
  • C'est dur de manger comme une grande n'est-ce pas? Ria Ophélie. Non! Non on ne mange pas avec les mains! Gronda-t-elle en voyant Fanny essayer d'attraper des pâtes avec ses doigts."

Fanny s'arrêta net, dépitée, alors qu’Ophélie prenait la cuillère et la remplissant, elle l'approcha de la bouche de Fanny.

" Aller, une cuillère pour maman. Une cuillère pour nyny. Une cuillère pour nounours..."

Fanny dû se résigner donc manger à la cuillère donnée par Ophélie, ne parvenant pas toujours à tout avaler, laissant échapper quelques morceaux ou un filet de bave de temps à autres. Une fois l'assiette terminée, Ophélie débarbouilla les joues de fanny avec son bavoir, et lui retirant elle la prit par la main et la ramena dans le salon pour la rallonger sur le canapé.

" - Maman va finir de manger, tu restes là, et tu es sage en regardant les princesses. Je ne veux rien entendre. C'est bien comprit Nyny?

  • Vi maman."

Ophélie remit la tutute dans la bouche de Fanny et revint dans la cuisine et termina son repas. Elle prépara ensuite un biberon et lorsqu'il Fu chaud elle le ramena dans le salon. Elle aida Fanny à se redresser, la fit asseoir sur ses genoux, et après lui avoir retiré sa tutute lui donna son biberon. Quand Fanny avala la première gorgée, elle grimaça, surprise par le goût de ce lait.

" Les bébés doivent boire du lait en poudre mon bébé, pas du lait en bouteille ça n'est pas bon pour eux!"

Malgré le début de soirée, les yeux de Fanny se fermèrent lentement tous seuls et elle s'endormit sans finir le biberon.

Un quart d'heure plus tard, Ophélie la réveilla doucement. Fanny finit son biberon, et Ophélie la fit monter dans sa chambre. Elle la coucha, la borda après lui avoir donné son ours en peluche et sa tutute, puis sortit de son sac une boîte à musique qu'elle mit en route et déposa sur la table de chevet. Elle ramena quatre chaises qu'elle adossa au lit, formant comme une barrière devant celui-ci. Elle embrassa Fanny en lui souhaitant une bonne nuit et éteignit la lumière avant de sortir et de fermer la porte. Fanny, à moitié endormie, serra son ours et fermant les yeux se laissa bercer par la musique douce diffusée par la petite boîte, et s'endormit rapidement.

Lorsque Fanny rouvrit les yeux son premier réflexe fut de tendre le bras pour prendre son téléphone portable pour y regarder l'heure.

Elle ne put que le bouger faiblement tellement ses draps étaient bordés étroitement. Quand elle se rendit compte de sa paralysie partielle, pendant une fraction de seconde elle eût un éclair de panique la traversa, mais tous les évènements de la veille resurgissant à son esprit lui remirent les idées en place. Elle sentait bien la couche quelle portait formait un gros paquet compact entre ses cuisses, et comprit rapidement que sans elle, ses draps auraient été mouillés plus que de raison. Elle attrapa son ours en peluche et se blottit tout contre, en réalisant qu'elle devait bien s'avouer que malgré l'humiliation et la honte des derniers évènements, elle avait aimé la soirée et la nuit qu'elle venait de vivre.

Elle se tourna dans son lit, serrant toujours sa peluche contre elle, et découvrit avec surprise que le jour avait l'air d'être levé depuis un moment à en croire les rayons de soleil qui se glisser entre les rideaux de sa fenêtre. Elle se décida de se lever, mais les chaises disposées devant le lit, et formant une barrière la dissuadèrent. Elle se dit que de toute façon, autant jouer le jeu jusqu'au bout.

Après quelques minutes encore, elle entendit un bruit de pas dans l'escalier qui se rapprochait, puis la porte s'entrouvrir lentement sans bruit. Ophélie entra dans la chambre sur la pointe des pieds, et s'approcha du lit. Fanny tourna la tête vers elle et lui sourit. Ophélie lui rendit son sourire. En retirant deux des chaises sur le bord du lit.

" - On est réveillé mon bébé?

  • Vi maman, dit Fanny tout en continuant à mâchonner sa tutute.
  • on va se lever? On a plein de choses à faire aujourd'hui! Tu vas voir on va bien s'amuser!"

Ophélie retira les draps et aida Fanny à se lever. Dès que celle-ci fut debout, elle ne put s'empêcher de poser sa main sur les fesses de son amie en palpant la couche rebondie. Elle lui déposa un baisé sur la joue et toutes deux descendirent au salon. Ophélie passa à la cuisine et ramena avec elle un biberon tout chaud. Elle prit Fanny sur ses genoux et fit mine de lui donner son biberon. ^ " - Tu as faim ma chérie?

  • Vi maman dit Fanny en se collant contre son amie.
  • alors avant de prendre son biberon de bébé, on va gouter à autre chose que les bébés adorent.
  • C'est quoi maman? demanda Fanny sans comprendre.
  • Tu verras bien ma chérie Sourit Ophélie en dégageant l'une de ses épaules ainsi que son bras de son haut avant d'en sortir l'un de ses seins qu'elle présenta devant le visage de Fanny.

Celle-ci resta interdite devant la scène en comprenant ce qu'elle devrait faire. Même si elle avouait aimer le biberon malgré l'humiliation qu'il procurait, le sein en était un autre bien plus grand et difficile à surmonter. Ophélie, ne désirant pas attendre plus longtemps, pinça le nez de Fanny d'une main et de l'autre enfourna son mamelon entre les lèvres de son amie lorsque celle-ci dû l'ouvrir pour respirer.

Fanny, la bouche encombrée après quelques secondes ne put faire autrement que de se résigner à obéir et téta lentement le sein. Elle constata que malgré les appréhensions qu'elle avait pu avoir, elle trouvait ça finalement agréable, d'autant que Ophélie semblait également apprécier sa caresse buccale.

Elles restèrent ainsi pendant une dizaine de minutes, Fanny tétant le sein d'Ophélie, et celle-ci la serrant tout contre elle. Lorsque Fanny lâcha enfin le sein, Ophélie se rhabilla correctement puis tendit le biberon vers la bouche de Fanny qui l'engloutit avec appétit.

Le biberon vidé de son lait, Ophélie redressa Fanny et la fit remonter dans sa chambre. Elle la coucha, lui redonna sa tutute et son ours et l'embrassa.

  • Maman va se laver et s'habiller, et après on prend le bain et on s'habille ma grande. En attendant tu te reposes pour être en pleine forme aujourd'hui!"

Elle se redressa et ayant lancé un dernier baisé en direction de Fanny, elle sortit en laissant la porte ouverte.

Fanny se tourna dans son lit en serrant son ours dans ses bras et ferma les yeux en tentant de se détendre. Son ventre pourtant ne l'entendit pas ainsi et se mit à gargouiller bruyamment. Une envie suivit se bruit inconvenant et Fanny sentit qu'elle ne pourrait rien faire pour empêcher ce qu'elle aller devoir faire sortir. Elle poussa donc fortement, et sentit bientôt une masse épaisse et chaude glisser dans sacoche, et s'étaler sur ses fesses et son entre jambes. Aussitôt l'odeur nauséabonde se propagea dans la chambre. Fanny se sentit bien et éprouva un plaisir qu'elle n'avait jamais cru possible, en se sentant souillée, sans que de l'extérieur cela ne se voit. Elle ferma les yeux, et plongea dans un demi-sommeil.

  • Oula! Mon bébé a rempli sa couche... s'exclama Ophélie en rentrant dans la chambre en réveillant en sursaut Fanny."

Elle la fit se redresser, lui enleva sa grenouillère ainsi que sa culotte de pvc, et la fit aller dans la salle de bain où elle lui retira sa couche.

  • Allez zou, au bain! dit Ophélie on poussant son amie vers la baignoire pleine d'eau fumante à la surface de laquelle des bulles de mousse savonneuses semblaient danser lentement."

Fanny ne se fit pas prier et entra dans l'eau. Ophélie lui enleva ses gants, sa tutute, et lui tendit un petit canard en plastique.

  • Tiens ma puce. Amuse-toi pendant que maman finit de s'habiller, et après on se lave pour avoir une nyny toute propre!"

Fanny attrapa le jouet et le fit glisser dans l'eau alors qu'Ophélie sortait de la pièce pour en revenir quelques minutes plus tard complètement habillée. Elle attrapa un gant de toilette, du savon, et nettoya délicatement tout le corps de son amie, insistant sur ses parties intimes, et faisant naître chez elle -ne douce chaleur qui eût tôt fait de la faire chavirer de bonheur. Elle lui lava les cheveux en prenant soin ^de réduire le jet de la douche au minimum, puis elle la fit sortir de l'eau avant de la sécher doucement en l'enroulant dans une immense serviette.

Lorsqu'elles revinrent dans la chambre Ophélie fit allonger Fanny sur son lit et avant de la langer, vérifia l'épilation intime de son amie. La sensation du lange se fermant sur ses hanches électrisa Fanny et elle se rendit compte qu'au plus le temps passait au plus elle aimait ça. Elle se demandait comment elle avait pu vivre sans jusqu'alors. Ophélie sortit de son sac un tee-shirt étrange, et le passa à son amie. Elle ferma des boutons à l'entre cuisses formant une culotte et embrassa son amie.

Elles redescendirent quelques minutes plus tard, une fois que Fanny ait remis ses gants et ses chaussons. Ophélie étendit dans un coin du salon un tapis multicolore où Fanny dû venir s'asseoir. Puis elle l'entoura avec des chaises avant de luis lancer son ours en peluche, un hochet et deux balles en mousse.

Fanny voulu attraper les jouets mais ses doigts ne lui obéissant plus, elle dû utiliser ses deux mains pour espérer les tenir. Elle joua ainsi pendant une petite heure, avant qu'Ophélie ne vienne la chercher pour passer à la cuisine pour le déjeuner. Celle-ci installa son amie dans sa chaise, lui mit son bavoir, et tendit donna à manger à son amie. Lorsqu'elle eût fini de lui donner un yaourt, elle lui débarbouilla la bouche, et mangea à son tour, laissant Fanny face à elle.

  • maman?
  • Oui ma chérie?
  • J'ai soif?
  • tu veux de l'eau?
  • Vi s'il te plaît.
  • Ok mais pas dans un verre, tu risque de le casser."

Ophélie se leva, et prit une petite timbale en plastique munie de deux poignets.

" Merci maman. Dit timidement Fanny en tenant maladroitement son verre de fortune et en rougissant." Ophélie débarrassa la table, et fit monter Fanny dans sa chambre.

" - Va ma puce on va faire une petite sieste pour être en forme après.

  • Mais ze suis pas fatiguée maman bredouilla Fanny qui avait reprit sa tutute en bouche.
  • Fanny, les petites filles de ton âge doivent faire une sieste pour ne pas être fatiguée après. Si tu es sage, on ira au magasin de jouets après et au parc."
  • Mais maman... Protesta Fanny.
  • Nyny je vais me fâcher! Tu veux la fessée?
  • Non.
  • Alors au lit dépêche-toi! "

Fanny se coucha à contre cœur, et prit son ours dans ses bras, alors qu'Ophélie la bordait étroitement puis tirait le rideau. Elle l'embrassa ensuite et sortit en fermant la porte, plongeant la chambre dans la pénombre. Fanny, se prenant de plus en plus au jeu, babilla pendant plusieurs minutes avant de fermer les yeux, et de s'endormir sans s'en rendre compte.

Ophélie vint la réveilla vers 16 heures, et lui changea sa couche. Elle fit enfiler ensuite une petite jupe ample et plissée, un petit tee-shirt avec un gilet par dessus. Elle la coiffa et lui mit ses chaussures avant de lui enlever ses gants. Elle la fit asseoir sur le canapé et prépara un sac qu'elle mit sur son dos avant de prendre d'autorité les clés de la maison et de faire sortir Fanny. Sur le trottoir.

" Tu m'attends ma chérie. Dit Ophélie à voix haute. Et tu donne la main à maman."

Fanny obéit, mortifiée de savoir que quelqu'un avait peut être entendu son amie lui parler ainsi. Les deux jeunes filles rejoignirent l'arrêt de bus, et lorsque l'un de ceux-ci arriva, elles y grimèrent pour rejoindre le centre ville. Ophélie entraîna Fanny derrière elle en la tenant toujours par la main à travers le dédale des rues et elles entrèrent bientôt dans un magasin dont l'enseigne indiquait Tout pour bébé. Elles parcoururent les rayons et arrivant dans le rayon des jouets, Ophélie le désigna d'un large geste.

  • Tu as vu tous les jouets ma puce! Tu as été sage, maman veut bien t'en acheté un. Tu veux lequel?"

Fanny rougit et opta après un moment pour une petite poupée habillée comme une princesse. Les jeunes filles se rendirent au rayon des couches et après avoir choisi un paquet, Ophélie entraîna Fanny vers la caisse. Arrivée au guichet, Ophélie posa le paquet sur le comptoir et regarda Fanny en souriant.

" Tu donnes ton doudou à madame Nyny? Elle te le rends tout de suite."

Fanny posa la poupée sur le comptoir en rugissant de plus belle, alors que la caissière passait les articles. Une fois sorti, Ophélie se dirigea vers un petit parc dans lequel elle s'assit sur un banc.

" Regarde ma puce il y a un toboggan tu veux aller jouer?" Fanny hésita un instant, puis sans savoir pourquoi elle se dirigea vers le jeu, y grimpa, et en redescendit en glissant. Elle recommença plusieurs fois jusqu'à ce qu'Ophélie se lève et fasse signe à son amie de la rejoindre.

Au lieu de ça Fanny pour provoquer un peu sa camarade tira la langue et ria en regrimpant sur le tobogan.

" Nyny dépêche toi gronda Ophélie enfilant son amie avec de gros yeux." Fanny tira la langue en restant obstinément assise en haut du toboggan. Ophélie soupira et fit demi-tour en repartant.

" Tapis, amuse-toi, au moins si quelqu'un te trouve tu lui demandera de te changer..."

Fanny comprit qu'elle était sans doute allé trop loin, et dévala le toboggan avant de courir vers son amie et de la rejoindre. Ophélie ne réagit pas ni ne fit aucune remarques jusqu'à ce que les jeunes filles soient revenues chez Fanny. Lorsque la porte fut fermée derrière elles et qu'Ophélie eût posé son sac, cette dernière rejoignit Fanny et la fixa sévèrement. " - Tu es contente de toi jeune fille? demanda-t-elle sévèrement en attrapant ses poignets et en lui remettant d'autorité ses gants.

  • Euh, euh...
  • tu t'es mal comportée tu en es consciente?
  • Euh oui maman, Dit fanny en baissant la tête.
  • Et que méritent les petites filles méchantes?
  • Une punition maman. Blêmit Fanny.
  • alors approche...
  • Maman s'il te plaît... excuse-moi... pardon... je m'excuse... non...
  • zou! Dépêche-toi!!!"

Ophélie tira son amie vers elle et l'allongea brutalement sur ses genoux, ses fesses bien rebondies par sa couche en évidence. Elle remonta la jupe dévoilant la culotte, et abattit sa main sur le postérieur de fanny qui gigotait pour se libérer. La main tomba sèchement à plusieurs reprises, écrasant et étalant la couche et son contenu sur les fesses et la vulve déjà souillée. Lorsqu'elle la redressa, Fanny pleurait plus de honte que de douleur, mais Ophélie, la maintenant énergiquement par le bras l'entraîna vers un coin de la pièce.

" Mets-toi à genou et mains sur la tête! Gronda-t-elle, et tu regarde là! Reprit-elle en tournant son amie vers l'angle du mur. Tu restes au coin pendant un moment et je ne veux pas t'entendre méchante fille. Tu pourras réfléchir à tes actes! On verra ensuite si je t'excuse!"

Ophélie s'éloigna et s'assit dans le canapé en prenant une revue qu'elle commença à feuilleter. Fanny, ne bougeait pas, comprenant que si elle se rebellait ou tentait quoique ce soit, elle risquait de le regretter amérement.

Une dizaine de minutes plus tard, Ophélie posa sa revue tout en observant Fanny toujours agenouillée face au coin de la pièce.

" - Nyny, viens ici... Non, non!!! s'écria-t-elle alors que la jeune fille s'était déjà relever. Le bébé c'est à quatre pattes qu’ils se déplacent. Dépêche-toi Dit Ophélie alors que Fanny arrivait en trottinant. As-tu quelque chose à dire?

  • Euh, je m'excuse maman.
  • Es tu vraiment sincère?
  • Oui maman je m'excuse.
  • Je te préviens nyny... la prochaine fois que tu as un tel comportement tu iras au lit sans manger, et en restant dans tes cochonneries!!! Est-ce que c'est bien clair?
  • Oui maman. répondit Fanny avec un air désolée.
  • Alors file dans ta chambre, je crois que tu as bien besoin d'être changée."

Fanny ne se fit pas prier, et fila à l'étage puis s'allongea sur son lit après s'être déshabillée. Ophélie la rejoignit, et lui retira sa couche sale avant de la laver, lui mettre un peu de lait corporel, du talc, et de lui mettre une couche propre et sa grenouillère. Elle la fit redescendre au salon et l'installa avec son ours en peluche et sa tutute devant un dessin animé, pendant qu'elle préparait le dîner.

Comme les deux repas précédents elle donna à manger à fanny avant de manger elle-même, et s'installa ensuite au salon pour lui donner son biberon. Elle la conduisit dans sa chambre, la coucha, la borda, et avant de la laisser s'endormir elle lui raconta une histoire tirée d'un livre plein d'images colorées. Lorsqu'elle referma le livre, Fanny avait les yeux clôt, la joue sur son ours, et la tutute bien calée entre ses lèvres.

" Maman? Murmura Fanny dans un demi-sommeil alors qu'Ophélie allait refermer la porte de la chambre en sortant.

  • Oui ma puce?
  • Je t'aime maman.
  • Moi aussi je t'aime ma chérie."

Ophélie rabattit la porte et redescendit au salon alors que Fanny plongeait dans des rêves enfantins.

Le lendemain matin se déroula comme celui de la veille, Fanny eût le droit à son biberon, son bain et lorsqu’Ophélie l'eût changé et habillée, elle l'installa sur une chaise et lui donna des crayons de couleurs ainsi qu'une feuille de papier.

" Tu me fais un beau dessin?"

Fanny se mit à l'ouvrage pendant qu’Ophélie préparait le repas, et elle eût droit à son retour à un beau gribouillage, sans aucune signification apparente, les gants de fanny l'ayant empêché de manipuler les crayons correctement.

Après avoir mangé, Ophélie guida Fanny jusqu'à son lit et la coucha pour sa sieste. Fanny ne tarda pas à s'en dormir en tétant sa tutute et en sentant l'urine s'épandre dans sa couche. Avant de perdre conscience, elle se dit qu'elle se laissait aller de plus en plus naturellement dans ce jeu, qu'elle ne pourrait bientôt plus s'en passer, et qu'elle appréciait et aimait sa situation.

Lorsqu'elle se réveilla, Fanny se trouvait dans son lit muni de barreaux sur tout le pourtour. La boîte à musique tournait encore faiblement. Elle papillonna des yeux en comprenant qu'elle venait de faire un long rêve, et s'étira délicieusement. Ophélie entra bientôt dans la pièce.

" - tu es réveillée mon amour?

  • Vi maman. Z'f fait un beau rêve.
  • Un rêve ma puce? Lequel?
  • Z'ai rêvé de notre premier week-end maman. C'était bien.
  • pourquoi ça n'est plus bien maintenant?
  • Ssii mais c'était bien aussi.
  • Il y a si longtemps ma chérie.
  • Vi maman ça fait 15 ans.
  • Oui mon bébé. 15 ans qu'on joue ensemble.
  • Moi Ze veux zouer encore longtemps..."

Fanny se blottit contre Ophélie et la serra très fort dans ses bras en enfouissant sa joue dans son cou.

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